Archive pour la catégorie '7) Un peu de moi'

Faire l’amour

Faire l'amour dans 6) Citations swedish_love_story_haut

Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.

 

 Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.

 

 Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.

 

 Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.

 

 Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.

 

 Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.

 

 Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.

 

 Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.

 

 Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.

 

 Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.

 

 Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.

 

 

Auteur inconnu

Publié dans:6) Citations, aimer, L'amour, Reveries |on 15 mars, 2009 |4 Commentaires »

Quand le coeur fait mal…

Quand le coeur fait mal... dans Reveries soleil.1217197731

Quand le coeur fait si mal qu’ il est difficile de mettre un pas devant l’autre…

Quand les tâches de tous les jours pèsent lourd et nous semblent insurmontables.

Quand on avance lentement, le dos courbé, ralenti.

Quand le fait de manger, d’aller travailler deviennent une épreuve.

Quand on a l’impression que notre cerveau est submergé par la tristesse.

Quand on a cette impression angoissante de s’effondrer, de chuter.

Quand on a envie de mourir, de disparaître.

Quand notre coeur est fermé, emprisonné dans sa douleur.

Soyons fort, relevons la tête, osons voir ce que la vie peut encore nous offrir.

Marchons droit et faisons l’effort de regarder le soleil qui brille, qui illumine. 

Fermons les yeux et que ses rayons nous envahissent et nous remplissent d’énergie.

Emerveillons nous de la vie qui coule

Saisissons ces petits instants magiques:

Un sourire sur un visage, le rire d’un enfant heureux, un clin d’oeil ironique, une vieille dame reconnaissante…

Choisissons d’être heureux et ouvrons nos coeurs…

(suivez moi, et faisons ce choix…)

 

Publié dans:Reveries |on 26 janvier, 2009 |2 Commentaires »

La solitude

La solitude est nécessaire, saine pour l’esprit, et l’âme.

Elle permet de se retrouver, de se remettre en question et d’avancer plus vite parfois. Car parfois la vie nous fait tourner la tête et nous empêche de se poser les questions essentielles. On oublie de se les poser, et le temps passe si vite…

Toutefois je pense que cette solitude ne doit pas être un refuge, car au bout d’un moment la solitude peut devenir une vieille habitude,  elle ne doit pas s’installer.

On doit se tourner vers l’autre, bras ouverts, interagir, donner, recevoir l’autre. Car c’est cela l’amour et l’humanité, c’est entrer en résonance avec les autres êtres humains, mais aussi avec l’espace qui nous entoure… c’est cela VIVRE!

Publié dans:Reveries |on 26 janvier, 2009 |5 Commentaires »

Bonnes fêtes de fin d’année!!!

Bonnes fêtes de fin d'année!!! dans Au jour le jour fun_chat_noel_800

Je te souhaite

De trouver chaque jour un moment rien qu’à toi

Un moment pour te rencontrer toi-même

et pour scruter ton âme.

Un moment à placer

entre tes préoccupations quotidiennes

et tes aspirations.

Pour comprendre, peut-être,

ce que tu voudrais vraiment.

Et qui sait,

pour poser sur ta vie un regard neuf.

Je te souhaite de savoir porter sur les choses passées

un regard positif:

ainsi, sur l’année que tu laisses derrière toi…

Je te souhaite

D’éprouver souvent cette fatigue délicieuse

qui vient après l’effort

quand celui-ci est payant…

Non pas payant au sens matériel du terme,

mais gratifiant, moralement et physiquement profitable.

Envahi de cette fatigue bienfaisante,

puisses tu savourer le fruit  de ta peine,

contempler avec satisfaction la tâche accomplie.

Nul n’est obligé de savoir ce qu’il t’en a coûté.

Mais ton corps, lui te le dit.

Je te souhaite

Au temps où tout va bien,

de ne jamais perdre de vue

que le bonheur n’a rien qui aille de soi;

qu’il n’est en rien éternel.

Sache donc, en ces moments privilégiés,

faire en ton coeur

provision de couleurs, de bruits et de chaleur.

Afin qu’aux heures froides et grises,

tu puises en ces réserves

la force puissante et secourable de la beauté,

qui peut tout surmonter.

Je te souhaite

de savoir poser des limites à tes certitudes.

Trop d’assurance tue le doute:

ne doute plus de toi, tu douteras des autres…

et s’éteindra leur confiance…

Sache t ‘interroger

te mettre en question,

aller vers eux

et t’avouer fragile:

c’est ainsi que tu te montreras fort.

Je te souhaite

de faire chaque jour une rencontre qui t’étonne,

te déconcerte, t’émerveille…

Un rien peut- être…

Laisse toi surprendre

par les petites choses simples de la vie:

un bourgeon qui éclate, une couvée sous un nid,

le chant de l’alouette au dessus du pré…

Je te souhaite

de toujours savoir quitter

les situations que tu crois sûres

pour être toi-même;

de savoir reconnaître en toi

l’appel à devenir ce que tu es, à vivre ce que tu es…

Le bonheur n’est pas autre chose…

Je te souhaite

de savoir accepter le deuil et la compassion

quand la mort et le malheur frappent tes proches:

que ton émotion soit forte,

qu’elle te bouleverse et demeure longtemps en toi.

Car c’est dans la souffrance de la perte,

qu’avec amour, nous reconstruisons,

avec ce qui nous reste,

et qui peut encore nous faire grandir.

Je te souhaite

d‘avoir près de toi quelqu’un

avec qui tu puisses vraiment dialoguer.

Quelqu’un qui sache poser les questions qu’il faut

et capable d’écouter.

Dis-lui ce qui te préoccupe,

cela t’obligera doucement à mettre en ordre

ce qui doit l’être.

Et toi-même,

mets toi à l’écoute…

Je te souhaite

de ne pas négliger ce que te disent tes sens,

mais de te mettre à leur écoute

pour savourer ce qui est autour de nous et en nous.

Emerveille-toi de la Beauté.

Toute chose a sa musique: accueille-là.

Tu goûteras ainsi  la volupté d’être.

Je te souhaite

d’avoir toujours devant toi

une tâche à accomplir,

qui t’oblige à un effort

et de préférence,

que tu ne puisses la remplir seul.

Notre vie n’est qu’un continuel devoir,

accepte-le au cours de cette année.

Je te souhaite

de faire parfois des erreurs.

De les corriger si c’est possible,

et si ce n’est pas possible

d’avoir le courage de les assumer.

Nul n’est parfait,

et si on veut l’être,

c’est au prix de l’angoisse et de la servitude.

N’hésite pas à t ‘ouvrir à la nouveauté

la vie t’apprendra bien des choses.

Tes erreurs elles-mêmes t’instruiront.

Je te souhaite

de faire cette rencontre heureuse

que l’on fait avec soi-même,

quand le matin,

on ne peut supporter son image dans le miroir,

et que l’on se sent plein d’énergie et de joie.

j’espère pouvoir imaginer que chaque jour,

tu respires quelques bouffées de ce souffle

et que ton pas dans l’escalier est souple et léger.

Et le soir venu, je te souhaite

de réussir à te sourire dans le miroir

d’un air heureux et reconnaissant.

Je te souhaite

d’aimer et de savoir rire.

Ris avec les autres, ris de leur plaisanteries,

sans jamais faire de surenchère:

ton rire doit venir du dedans, venir de ton coeur.

Cultive ce don, qui ne doit pas rester cérébral!

Pour être vrai, le rire

doit s’emparer de ton être tout entier.

Je te souhaite

de l’amour.

De l’amour à donner et à recevoir.

L’amour est cette sensation de plenitude

qui vous submerge

lorsqu’on l’on se sent en harmonie

et étoitement lié à tout ce qui vit:

les hommes, les idées,

la musique, l’eau, le vent,

la vie…

Publié dans:Au jour le jour, Chats, Reveries |on 23 décembre, 2008 |2 Commentaires »

Un aigle

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J’ai fermé les yeux, et j’ai vu un aigle prendre son envol dans un froissement d’ailes.

Très haut dans le ciel…. Le vent le soulève et le porte…

J’ai senti le bruit du vent, et sa caresse sur ses plumes.  J’ai vu de son oeil perçant l’immensité de l’espace qui lui appartenait. Des plaines, des hauts plateaux arides, et des canyons… le vide est là, sous moi un sentiment de plénitude m’envahit.

Dans le lointain,  j’entends une musique indienne, des sons de tambours et des chants.  Ca me berçe, et je danse avec le vent en harmonie.  Longtemps le vent portera mon corps abandonné. Le temps n’existe plus, l’espace est infini.

Puis un grondement me réveille, c’est l’orage. Je rejoins une grotte mon nid, mon foyer. 

Il pleut, je frissonne, nous nous rapprochons plumes contre plumes, lui contre moi.

 

Publié dans:Reveries |on 24 octobre, 2008 |1 Commentaire »

Week-end au Pouliguen

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Photo d’une mouette, sur le point de prendre son envol, qui s’est posée là quelques secondes…

C’était une fin d’après-midi, encore très ensoleillée. Une douce ballade, main dans la main, à observer les bâteaux qui revenaient du large et rentraient au port plein d’entrain. Cette chaleur paisible, remplissait tout notre être. Le silence était pur.

Nous écoutions la vie autour de nous tandis que nous étions là, l’un et l’autre, le coeur battant, seuls . Nos regards se croisaient, sans bruit, nous nous comprenions ; et nous savourions ces intenses moments de paix et de bonheur…

Publié dans:Au jour le jour |on 15 mai, 2008 |Pas de commentaires »

Week-end en Normandie

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Ces chevaux et ces vaches, dans un cadre bucolique, broutant nonchalamment l’herbe, poussant à profusion. 

L’herbe épaisse et sauvage, vert vif, se mêlant dans une peinture de bohème, aux fleurs délicates et légères, du bord des routes, tremblottant sous le vent marin, multiples et multicolores.

Des petites routes étroites et sinueuses, approchant le parfum salé de l’océan, sillonnant ces prés poétiques, et ces villages minuscules de pierre et d’histoire, empruntés de romantisme.

Puis après les monts scultés dans la roche, et les petites collines sauvages soulevant la terre : l’océan…

L’océan et ses parfums de sels et d’algues, et cette brise pure remplissant le coeur… qu’on ne peut respirer qu’à plein poumon. L’océan et l’immensité de sa baie, peuplée de merveilles, de reflets d’eau et de soleil.

Puis au loin, entouré d’eau bleue, un mont gigantesque, effilé se fondant dans l’espace.  Au sommet : Saint-Michel, se mélant au ciel et aux nuages.

arton82 dans Au jour le jour

Publié dans:Au jour le jour |on 5 mai, 2008 |3 Commentaires »

J’ai un rêve…

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Un jour, l’Homme aimera l’Homme…

Nous vivrons dans un monde sans guerre, sans cupidité, sans racisme, et sans peur…

Où la solidarité sera naturelle, et où le monde ne sera pas gouverné par l’argent et le pouvoir.

Nous serions tous les maillons d’un même peuple, où chacun aura une place, ou chacun mangera à sa faim, ou l’on se respectera comme des frères, et où l’Amour regnera naturellement…

Où les tueries les massacres feront partie du passé.

Vous allez me dire : » tu rêves là!! », mais c’est à nous, chaque jour, de faire un effort vers l’autre, de garder confiance en l’humanité, et en la vie, pour que ce rêve puisse devenir un jour réalité… Car nous sommes les maîtres de nos vies, et de notre destin…

A bas le fatalisme, et le pessimiste qui nous envahient tous, et qui nous empêchent d’être heureux.

Publié dans:Reveries |on 19 février, 2008 |7 Commentaires »

L’écriture

C’est un moyen d’expression.

J’utilise l’écriture comme un moyen de libérer mes émotions. Certains parlent, d’autres font du sport… Chacun sa manière d’exprimer ce qu’il y a au fond de soi. Le plus important est de ne pas tout garder en soi, et de se libérer de certaines émotions, surtout quand elles sont négatives, car elles peuvent devenir un poids lourd à porter, et un jour tout peut ressortir brutalement, sous forme de maladie (« le mal a dit »), de grave dépression…

La poésie, l’écriture, devient alors pour moi, comme une thérapie pour guérir de mes maux.

C’est devenu naturel, cela fait partie de moi. Quand je n’ai pas le temps  de prendre le temps d’écrire, (hélas, l’emploi du temps ne le permet pas toujours), cela me manque, car c’est comme une nécessité.

J’avais fais une pause dans l’écriture, pendant plusieurs années. Depuis peu, et en partie grâce à vous mes chers lecteurs, je reprends petit à petit le chemin vers l’écriture, et cela me fait beaucoup de bien.

Aujourd’hui je me rends compte, que toute ma vie, l’écriture fera partie de moi… et ça me plaît!

Publié dans:Au jour le jour |on 12 février, 2008 |2 Commentaires »

Individualisme (le train)

 Individualisme (le train) dans Coups de gueule tgv

Le train…loin du mythe

Lieu de transport, mais aussi lieu d’individualisme.

Vendredi soir, je prends le train pour passer un week-end sur Lille, (3h30 de trajet)

Je m’apprête à monter dans le train, avec ma grosse valise (je vous assure juste le strict nécessaire…).

    Et voilà que commence ma première épreuve : entrer dans le train en un seul morceau !

Ca se bouscule, à celui qui va entrer le premier !  Encore dehors, je commence à désespérer…. et voilà qu’un homme d’une quarantaine d’année, plutôt bel homme, élégant s’avance près de moi. Je me dis chouette, tu vas pouvoir enfin entrer, que ce calvaire se termine (j’exagère un peu j’avoue…), cet homme tout en courtoisie, et en politesse va te céder la place, voire même t’aider à porter ta valise (on peut toujours rêver…). Manque de bol, et bien non! Il évite soigneusement mon regard, force légèrement le passage et pénètre tranquillement, comme un oiseau se pose sur sa branche, dans le wagon. Et oui mesdames, il n’y a plus de politesse, quand t-il s’agit d’avoir sa place réservée dans le train, je vous assure !

Mes nerfs, quelques peu émoussés, je me dis, étant dans un monde de sauvages, je vais me comporter comme tel. Et je finis par quelque peu forcer le passage, afin d’entrer tout en délicatesse dans cette enceinte rassurante de
la SNCF.

    Deuxième épreuve : dans la rame

    Bref, je pénètre dans la rame, contente d’être au bon endroit, au bon moment ( dans le bon train, à la bonne heure), et me réjouissant de l’issue de ce trajet en train (passer un week-end agréable sur Lille). Je souris, heureuse, j’arrive à ma place, plein d’amour à donner, de bonté à offrir (vous connaissez ce sentiment ?), un jeune homme est assis à la place à côté de moi. Je lui souhaite le bonjour, tout en souriant toujours. Déception, le sale môme (pardonnez moi, je m’emporte), me regarde, l’air niais, retire son sac crado, et se retourne. Quelle gifle je me prends !

   Troisième épreuve : Le trajet (long, et le mot est faible)

Je m’assois, je regarde les gens, tous figés, n’osant se regarder, dans la contemplation irrésistible et passionnante (apparemment) de leur écran d’ordinateur portable, livres, revues, ou du paysage (il pleuvait, et le soir tombait je précise). Tant d’âmes dans une rame (cinquante ??), et tant d’individualités. Je surprenais quelques regards furtifs parfois dans ma direction, et lorsque je voulais répondre à leur regard, zou ils se retournent à la vitesse de l’éclair, pour pas que je m’en rende compte, et de peur de croiser mon regard (terrifiant c’est vrai !) On n’ose plus se toucher, quand on le fait, malgré nos efforts démesurés, on s’excuse. (« oh excuses moi, je t’ai touché »), comme si le contact humain était empoisonné.

Quatrième épreuve : idem première épreuve

    Nous n’osons plus nous regarder, nous toucher, nous parler. Pourquoi, sommes nous tellement terrifiés les uns des autres ? Peur de la différence ? Peur de celui qu’on ne connaît pas ? Pourquoi ? Je suis sûrement autant concernée que ces gens dans le train, c’est une sorte de protection, de ne pas laisser l’autre communiquer avec toi, de peur de lui livrer son jardin secret. Peur qu’il te colle, qu’il te déçoive, qu’il te drague… On aime notre petit espace étroit, étriqué, mais tellement rassurant, car on le connaît par cœur. Peur, peur, peur…

    Mais par cette attitude, ne perdons nous pas plus de choses que nous en gagnons ? Ne perdons nous pas le partage, la communication, l’ouverture d’esprit ? Apprendre des autres c’est possible ! on apprends pas que sur internet ou dans les bouquins !

    Cette expérience, tout le monde l’a vécu, dans la rue, le métro, ces regards plein de vide, plein d’indifférence, fixant un point dans l’espace. Ces gens qui te cognent dans la rue sans s’excuser…

    Mais cela ne vous inquiète –il pas ? Qu’en pensez vous ? Cela se passe-t-il partout pareil ? Et autrefois ?

A vos avis

Publié dans:Coups de gueule |on 25 janvier, 2008 |5 Commentaires »
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