Larmes d’or
Sur le bord des routes
Ces champs de colza
Se souviennent de toi
Ce soleil qui occupait
Tous les horizons
Le vent balayait tout
Comme une image lointaine
Floue de lumière et d’or.
Larmes dorées qui coulent
Ton ombre qui s’efface
Qui se laisse emporter
Au loin