L’air du large.
Ce matin, le petit crachin
Qui par petites touches mouillées
Vient sur mon bras, caresser
Puis sur la bordure de mon sein.
Je respire l’air du large
Comme un appel au voyage
Me berce dans ce rêve palpable
Du bout des doigts, dans le sable.
Les yeux embués de désir et de peur
Que les flots bleus bouleversent mon coeur.
J’ai les pieds encore menottés à cette terre.
Que faire ?
Un jour,
Je dessinerai une pensée déliée, évaporée
Un corps nu, s’envoler et danser
Près des étoiles, devenu Liberté.

Vous pouvez laisser une réponse.
hé oui j’en aurai bien besoin en ce moment de cet air du large
bisous
Françoise
je reviens vers toi pour te dire que c’est tout reposant l’océan
J’aime ce poème, il est tendre, aérien et invite au silence.
Merci et surtout continue, tes poèmes sont un vrai voyage, un vrai plaisir pour notre âme.
Dernière publication sur Angie : Des années ont passé
Merci pour tes mots, ça me touche vraiment…
Bonjour,
Je suis tombé par hasard sur votre blog aujourd’hui !
Je note bien l’adresse.
J’adore tes poèmes.
A ++
Eric
Trés jolis bravo!!
Amicalement Anaska
Dernière publication sur Anaska à Coeur Ouvert : Sais tu que...
HA HA on est revenu faire un petit tour parmi nous ma belle, décidémment je vois qu’à chaque fois que j’ai besoin de la mer tu te trouves dans le coin Merci Epona
Bisous à bientôt
TITRE
Crise, crise, est-ce que j’ai une gueule de crise !
(((((petit poème que tu peux publier…)))))
Triste déroute pour ces marchés financiers
Un bloc s’estimait vainqueur
L’autre implosait sur ses sentiers
Au milieu aucun leader
God bless me
American way of life
American dream
Meurt à son tour
La bourse a spéculé
Les traders ont surjoué
Les banques ont vacillé
Un autre rideau est tombé
Combat de fer qui s’engage
Le capitalisme spéculatif est mort
Place à un nouveau gage
Le rideau de fer encore
Rafistolage d’un cheval mort
Lancé et inarrêtable dans son galop
Ses maîtres le voyait haut
Voilà qu’il meurt encore
Ma petite entreprise ne connaît pas la crise
Faites des gosses, pas la guerre
Recomptez votre mise
Repartez de zéro, téméraire
Un système à terre
Et tous les hommes
Seuls et aveuglés
Volent en l’air
Petite bourrasque de 1993
Est devenu grande
Traders en misère de 1996
Sont devenus des réfugiés
Petite entreprise
qui ne connaît pas la crise
Subit celle de l’hypocrisie
Et se boit jusqu’à la lie
K.Hugo
avec l’air du large depuis chez moi, j’habite devant la mer…..le vent annonce de la pluie, l’air respire la poésie…et le temps passe…j’aime beaucoup ton blog qui pour le moment je n’ai fait que survoler….ce n’est pas facile au début de créer son propre blog et de voguer sur celui des autres….mais le tien me retient…merçi pour ton commentaire sur le mien…j’ai mis un lien de ton blog sur le mien…pour que ceux qui passent aille prendre le vent du large sur le tien.
tendresse
Nathalie
bonjour et merci de ton passage ,j’aime beaucoup ce poeme…..
bravo pour ton blog ….bonne journée à toi….