J’ai oublié

J'ai oublié dans Tristesse 455

J’ai oublié

Ces soirs où tu venais me voir

Je dormais, il était tard

Et tu déposais sur ma joue

Un baiser si doux…

J’ai oublié

Ces balades à l’ombre des grands chênes

Ce vent d’hiver qui soufflait alors

A l’écoute de ta voix si sereine

Je m’endors…

J’ai oublié

Ces moments où tu me montrais

Du bout du doigt les oiseaux

Qui de l’arbre s’envolaient

Moi, sur ton dos…

J’ai tout oublié

Tous ces souvenirs

Je les ai imaginés

Car de toi, dans ma vie

Ne reste que l’oubli.

30/01/08 

Publié dans : Tristesse |le 30 janvier, 2008 |5 Commentaires »

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5 Commentaires Commenter.

  1. le 2 février, 2008 à 13:08 chefpetasse écrit:

    DIS MOI ma belle j’ai la légère impression qu’il y a du chagrin d’amour dans ce poème je me trompe? Non hein!!! mais ne t’inquiète pas tout vient à point qui sait attendre et rien n’arrive par hasard donc essaie de relativiser et j’espère te lire dans des sujets un peu plus « rieurs »

  2. le 21 février, 2008 à 17:06 anaska29 écrit:

    L’amour s »enfuit souvent pour fare place à un nouveau plein d’avenir!

    Amicalement Anaska

    Dernière publication sur Anaska à Coeur Ouvert : Sais tu que...

  3. le 5 mars, 2008 à 21:20 koalangie écrit:

    Il est vraiment triste ce poème. L’oubli, c’est vraiment une des choses les plus cruelles qui existent je trouve, même un amour perdu et douloureux ne méritent pas d’être oublié parce qu’au fond il y réside toujours des pépites de bonheur, de beaux souvenirs qui font partis de nous-même, puisqu’il a été amour malgré tout.

    Amitiés

    Dernière publication sur Angie : Des années ont passé

  4. le 10 mars, 2008 à 10:19 epon écrit:

    Oubli est dans le sens aucun souvenir, réellement. Car dans ce poème, je suis enfant, et beaucoup trop jeune (moins de 3ans), pour me souvenir de ce que j’ai vécu.

  5. le 30 octobre, 2008 à 20:01 jerome Brilleman écrit:

    Oublier, c´est un peu perdre de soi
    Un acte involontaire, qui peu blesser
    La personne qui vous garde en pensées

    Oublier, je le désire parfois
    Il y a tant d´ombres dans le passé
    Que je voudrais pouvoir effacer

    Oublier, peu apporter la joie
    Quand mon cœur par son battement
    Me rappelle á mes sentiments

    Oublier, non je ne pourrais pas
    Une adorable fée, dans son royaume
    Qui du crapaud á fait un homme !

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